Figure 1 - Illustration ludique des soucis de Mathieu |
Il arrive à Mathieu d'être un sapré cornichon (dans le bon sens, pas méchamment). Parfois, l'envie d'écrire sur ce blogue quasi-nobelisé lui est si pressante qu'il n'arrive pas à contenir sa joie. Trépidant, les doigts vibrants d'excitation, ce bougre cliquette non pas une, mais deux fois sur le bouton « publier », entraînant son article, donc ce blogue et sa réputation biblique, vers l'enfer putride de la double publication.
Bien sûr, Mathieu demeure un honnête diable, je ne lui tiens donc pas rigueur lorsque ses appendices s'égarent, créant ainsi des cybercataclysmes d'ampleur modérée. Je connais son amour à peine hétérosexuel pour le suave crooner d'Outremont. Voilà pourquoi je m'abstiens, aujourd'hui, de cliquer sur le bouton « supprimer l'article », qui bannirait le doublon des pages majestueuses du Vieux deux.
Après tout, comment en vouloir à quelqu'un qui pèche par excès d'admiration pour un chanteur à la voix grave et pour le métier de blogueur sporadique? Comment?