samedi 31 octobre 2009

les arbitres sont nonos tight.

Bonne nouvelle!!!

Pardon? bonne nouvelle? Oui oui! Moi, Mathieu, je vous annonce une bonne nouvelle! C'est assez étonnant vu que, dernièrement, j'avais des airs d'oiseau de malheur avec mes histoires de problèmes de drogue, de volcans destructeurs et de troubles de connexion au blog.

Yo man, c'est quoi ta bonne nouvelle gros?

En marchant dans le quartier tantôt j'ai découvert que le Mal n'existait plus.

Pas pire nouvelle hein!

Vous avez des doutes? Voici la preuve:



Astifi, le Mal est mort!

Né dans la ville de Bristol en Angleterre le 4 Juin 1900 (parce que c'est bien 1900 et non 1700 qui est inscrit sur la pierre tombale), le Mal (ou Evil de son vrai nom) vit une jeunesse paisible. Il chante dans la chorale de sa paroisse, il est fin dompteur de petits animaux (7 souris, 4 chats, 1 chien, 12 paresseux et 827 centipèdes) et toutes les fillettes le trouvent absolument mignon. Toutefois alors que le Mal est âgé de 10 ans, son père, Wilfrid McGalarager, fait faillite, sombre dans l'alcoolisme et devient violent. Victime de la violence de son père, le Mal subit un grave traumatisme crânien. Après un long séjour à l'hôpital, le Mal a changé. Il est devenu le Mal que l'on connait.

Quelques dates importantes dans la vie du Mal:

- 14 avril 1912: premier grand méfait du Mal, il coule le Titanic.
-4 août 1914: la première guerre mondiale.
-3 septembre 1939: seconde guerre mondiale.
-15 septembre 1960: Rocket Richard prend sa retraite.
-22 novembre 1963: Kennedy se fait shot.
-blablabla c'est long penser à des choses horribles qui sont arrivées sur terre
-22 mars 1988: Vincent naie. fuck you Mal.
-1993: naissance de Daft Punk
-4 janvier 1998: dernier acte de terrorisme du Mal: la crise du verglas
-6 avril 1998: mort du Mal

Voilà!

L'heure est à l'épouvante


Osti, j'ai la chienne mesdames et messieurs. Je tremble dans mes shorts et c'est du sérieux. Mais détrompez-vous, ce n'est pas les Harry Potter et les Estraterresses qui sillonnent les rues qui me font capoter, mais un tout autre phénomène.

Il faut vraiment avoir vécu dans une grotte pour ne pas être au courant du terrible fléau qui menace nos futiles vies. Bin oui, c'est clair que je vous parle de la A(H1N1), de quoi d'autre pourrait-on parler, bout d'viarge!

«La panique est très mauvaise conseillère dans ce genre de situation», a dit le ministre de la santé Yves Bolduc, qui désormais invite la population à faire preuve de civisme et de discipline.

Donc on en est rendus là, réduits à la panique comme de vulgaires animaux. Mais c'est plutôt compréhensible ; qui, de nos jours, n'a pas vu un de ses proches être terrassé par cette terrible maladie.

Je vous entends nous demander : "Chroniqueurs de Vieux deux brun, guidez-nous avec votre infinie sagesse et dites-nous comment nous sortir de cette tempête". Soit.

Premier conseil : Arrangez-vous pour ne pas attraper ladite maladie, ça a l'air que les symptômes sont pas bin bin le fun, surtout la partie diarrhée et vomissements parfois violents. C'est donc un pensez-y bien.

Puis : Si par malheur, vous faites partie des lurons infectés, tapez-vous un marathon de Star Wars en buvant plusieurs litres de Gatorade au raisin et en ingurgitant de la soupe poulet et nouilles. Tentez d'éviter les activités physiques exagérées ou les contacts avec d'autres êtres humains.

Enfin, en faisant le tour des quotidiens j'ai trouvé un grand titre qui m'a fait LOLer (rigoler); 'Swine flu party' a bad idea: US health official. L'article est plate, donc il n'y aura pas de lien, ça vous apprendra.

jeudi 29 octobre 2009

C'est l'boutte d'la marde

Je suis en beau fusil


Bon, je vais commencer par vous dire que je suis un jeune homme pacifique, posé et rationnel. Il n'y a pas grand chose dans ce bas-monde qui me font fulminer (merci pour le terme Mathieu), mais, comme on dit, y'a toujours bin des cristies de limites!

Écoutez, j'aime tout le monde et je leur fais confiance (parfois aveuglément) sans les connaître. Naïf personnage que tu es! Que je vous entends me crier avec dédain... Bin allez chier, je suis comme ça, donc merde!

Mais là là, LÀ LÀ! Il y a des affaires qui ne se font pas! Non Môssieur!

Je vous met en contexte. Quand je vais faire ma session de cardio au gym de l'Université, j'ai (du moins, j'avais) l'habitude de ne pas barrer ma case, car je n'y laissais que ma lamentable veste capuchonnée noire. Une veste sans intérêt pour la plupart des mortels, mais que j'aimais bien et que je portais de manière plutôt assidue.

Donc je cours, insoucieux, sur mon tapis roulant, tout va bien. Je remarque cependant la présence d'une petite clique de "Yo", âgés d'environ 17 ans, qui viennent s'entraîner en camisole (afin de montrer leurs trapèzes protubérants), qui semblent glander plus qu'autre chose.
Au diable ces blanc-becs, me dis-je.

Eh bin, c'est bien en enfer qu'ils se dirigeront, car à ma grande stupéfaction, ma veste brillait par son absence et cela quelques minutes suite au passage de ces va-nu-pieds dans le vestiaire.

Comble de crisse! Ces derniers avaient vidé le contenu des poches (probablement à la recherche d'un portefeuille bien garni) et l'avaient laissé sur le comptoir du vestiaire. L'insulte à l'injure!

Oui, il y a la famine, la pauvreté, le SIDA, Mathieu, mais permettez-moi d'être fâché et déçu du genre humain par les temps qui courent. À qui peut-on faire confiance mesdames et messieurs?

Oui, j'irai contre ma nature et m'équiperai d'un cadenas la prochaine fois et oui, ces petits crisses brûleront en enfer (ou seront pulvérisés sous les pneus de ma skylark).

C'est l'boutte d'la marde.

oulala ce matin

Ça ne va pas bien du tout.

Je passe à côté du "fourre-tout" de l'appart tout à l'heure. Je m'arrête. Hein? Hallucinerais-je? Qu'est-ce que ce fumet louche et criminel? Ça sent l'weed à pelleté ostaille!

C'est vrai que beaucoup de monde passe par cette phase-là, l'exploration du monde de la drogue. J'aurais dû m'y attendre. J'ai pas fait attention. Là, c'est allé trop loin.

Vincent, notre chauffe-eau a des problèmes de drogue.


Notre chauffe-eau drogué.

Y'essaie de le cacher. Mais je l'ai quand même sentie, son odeur de boucane de drogue. Je vais devoir avoir une sérieuse conversation avec le chauffe-eau. Ça faisait un bout de temps que je trouvais qu'il avait changé. Je sais pas comment il va réagir. Maudite drogue.

mercredi 28 octobre 2009

SUR VDB



La Ligue Nationale des Sourcils est heureuse de recruter le jeune et prometteur Joël Bouchard. C'est la Ligue Nationale des Regards Intenses qui fulmine.

À souère

Image pas tout à fait à jour

Ce soir le Canadien rendent visite aux Penguins en Pennsylvanie, ça promet d'être enlevant. Pour m'accompagner dans cette épopée, je serai épaulé de Mathieu, de la labatt 50 en bouteille et de mes fidèles Triscuit à saveur de tomate séchée et huile d'olive.
Le timing est bon, car je viens tout juste de retrouver la vision que Mathieu m'avait fait perdre lors de son brutal assaut.

Proposition : Vu que le traditionnel "Olééé, Olé Olé Olééé" qu'entonnent les fans du CH commence à sentir le réchauffé, je propose un nouvel hymne. Le voici, chantons en coeur :

Vitalic - Poison Lips

tourneliforme c'est forme c'est forme, c'est formidable

Hey. Dans vie là. Un rien peu nous mettre de mauvaise humeur. (Surtout quand t'as de légers troubles de comportements en société, comme c'est mon cas). En tout cas. Moi ce matin je m'en venais tout joyeux sur VieuxDeuxBrun pour vous parler du lépoard des neiges. Comment cet animal est absolument cute.

Mais là j'ai pu le goût pantoute. Ma connexion au blog a été des plus difficiles. J'entre mon adresse courriel, j'entre mon mot de passe. Bon ça me dit que le nom d'utilisateur ou le mot de passe est éroné. Je me dis: ah nounounerie, erreur dans le mot de passe. Je retape, même message. Hey woh. Osti. Là je veux reretaper mon mot de passe, mais là mon curseur était ailleurs faque je tapais dans le vide.

Ça c'était le comble. La goûte qui fait déborder le shampoing. Pris d'une rage soudaine, je me suis dirigé vers la chambre de Vincent, où notre compatriote blogueur dormait d'un lourd sommeil réparateur. PIF PAF PIF POUF que mes poings faisaient sur ses tempes.

J'ai alors réalisé que cette violence était inutile. Je suis retourné m'assoir devant mon ordi. J'ai pris le temps d'analyser la situation. Soudain j'ai vu, j'ai compris. Je devais compléter mon adresse courriel d'un .com.

Voilà, finalement j'ai réussi. Tout est bien qui fini bien. Tout le monde a appris une leçon dans cette hitsoire. Moi: prendre mon temps lorsque je clapote sur un clavier. Vincent: ne jamais oublier son casque protecteur lorsqu'il dort.

Babyyyyyye!

mardi 27 octobre 2009

Les accommodements raisonnables vus par un itinérant

Figure 1 - Bertrand D'Antargneux, tentant de m'expliquer les rudiments de la vie en société

Tout à l'heure, je déambulais gaiement le long du boulevard Alexandre-Taché, quand tout à coup, je fus heurté par une terrible constatation : le débat sur les accommodements raisonnables n'est toujours pas clos!!! Je fis donc comme tout homme digne de ce nom ferait : je fondis en larmes et pris la position fœtale, rendant la circulation sur le boulevard impossible et cela pour un bon 2 h.

Lorsque je repris conscience, je sentis une vive soif de réponses naître en moi ; il me fallait savoir l'élément qui permettrait de clore ce fastidieux débat.

Je me rendis donc au Pôle mondial de l'immigration, là où de nombreuses frictions inter-groupe-ethniques avaient certainement pris place : le Vieux-Hull. Sur place, je fis la rencontre du second élément de mon enquête, Bertrand D'Antargneux, un sympathique robineux, immigrant français, déserteur de la première guerre mondiale, alcoolique, complété d'visage ravagé par l'expérience de vie. Il me semblait être le candidat parfait pour répondre à mes questions...

Après l'avoir rué de coups de pied plus ou moins délicats, je réussis à le réveiller de son "sommeil" réparateur. Je lui offris un demi sandwich aux cretons et mon restant de Powerade avalanche de baies en échange d'une beurrée de sagesse, il accepta.

- "Mon jeune", éructa-t-il, "j'en ai vu des gens dans ma vie moé". Un long silence suivit, Bertrand semblait scruter le néant....
Je ne sais pas si c'est son regard vitreux ou bien ce mince filet d'écume perlant au coin de sa bouche qui me fit redouter notre interlocution, mais Bernard repris de plus belle.

- "T'es qui toé? Veux-tu du pot? je connais des gens qui en ont, c'est d'la bombe qui m'disent"
- "Non monsieur, je souhaiterais connaitre votre point vue sur le grand débat qui déchire le Québec depuis quelque temps... Quelle est votre position sur les accomodements raisonnables?"

Bertrand fixa mon âme de façon déconcertante pendant deux bonnes minutes avant de me gerber une réponse dans un français quasi-compréhensible.

- "Moé j'aime bin le monde, y peuvent bin v'nir d'ousse qui veulent, tant qu'y ont des trente cennes pour moé HAHAHA!". Il remonta ses joggings et poursuivit. "Les immigrants, faut les accepter comme qui sont, y m'acceptent bin moé, faque tsé..."

- "C'est une bien belle manière de voir les choses ça M. D'Antargneux, donc vous croyez vraiment que nous devrions accepter tous les gens, peu importe leurs différences?"

-"C'est bin évident, tout le monde à part les crisses d'Européens, c'est pas du bon monde ça, qui restent cheu z'eux!"

C'est à ce moment que je me rendis compte que l'abus de Listerine et de gros gin frelaté avait probablement fait perdre la raison à ce sympathique vieillard, qui semblait oublier qu'il était lui-même un immigrant illégal européen.
Justement, au même moment, Bertrand achevait de vider une bouteille entière de désodorisant Axe dans le restant de Powerade que je lui avais donné en chantant la Marseillaise, tout en marchant difficilement vers le Uniprix de la place du centre.

Décidément, ma quête de réponses devra se continuer ailleurs. En attendant, je vais aller enrichir mon vocabulaire en me tapant un marathon de "L'antichambre".

Paix

Pierre la mooooooort




J'ai vu le visage de la mort cette nuit. Je me réveille ce matin avec une phobie plus grande Joe Montferrand. Tabarnak. Les volcans ça peut exploser partout. Osti sommes-nous en sécurité à Gatineau? À la veille des plus grandes élections municipales que l'univers ait connues, les candidats à la mairie sont-ils prêts à protéger la population gatinoise contre une attaque de lave , de cendre et de smegma?

Mathieu!!! Arrête de nous faire paniquer!! Le monde est déjà assez instable comme ça!!! Pourquoi t'enflammes (volcan...enflamme...hahahahahah quel beau petit gag!!!!) tu ainsi soudainement en pensant aux volcans?

J'ai rêvé cette nuit. I HAD A DREAM MOTHERFUCKER. J'allais mourir. Y'avait dla grosse lave qui arrivait à genre 8 millions de kilomètres/heure. Je laissais un message sur le répondeur de mes parents pour leur dire que j'allais mourir. C'tait vraiment le comble de tragique.

Mais le vrai coupable dans toute cette histoire, l'élément déclencheur de cette folie soudaine, c'est canal D. J'écoute pu jamais ça. Leurs esti de reportages sur les volcans à Hawaï. Ça m'influence. Va chier canal D. Contente-toi de passer des émissions de poursuites dangeureuses.

La vie...


...C'est aussi savoir quoi faire lorsqu'on se fait attaquer par un ours

lundi 26 octobre 2009

Brian Gionta, meilleur scoreur qu'une bouchée de mélange du randonneur?



Au cours d'une vie, il est parfois nécessaire de s'arrêter et de prendre du recul, de faire un bilan afin de répondre à certaines questions existentielles...

Alors que mon âme me semblait en complète perdition il y a de cela quelques années, j'eus décidé d'entreprendre un grand voyage au sein des cordillères encore inexplorés du Népal septentrional.
Saut en avant dans le temps...

... Ce n'est qu'après la mort de mon fidèle sherpa Kn€ffщẃў (Dieu ait son âme), que je compris que l'ascension de cette montagne encore sans nom, allait s'avérer plus compliquée que prévue.
Le huitième jour, après avoir fini de dévorer ce qui restait de Kn€ffщẃў, je me suis mis à avoir des visions, des visions de terreur, des visions qui me foutaient une de ses trouilles. Lors de celles-ci, j'entendais de mystérieuses voix, des voix sirène-esques qui semblaient vouloir me donner la clé d'un savoir encore inconnu du genre humain.
Les voix me poussaient à réfléchir à des choses auxquelles je n'aurais jamais songer réfléchir auparavant.... Elles me conviaient à combiner plusieurs éléments mythique afin de façonner une oeuvre artistique aux potentiel infini...
Le défi m'était lancé, je me devais de tout abandonner pour mettre à bien cette grande mission.

Saut en avant dans le temps...

Après 17 ans d'ouvrage acharné, mon équipe de scientifiques chevronnés et moi sommes finalement parvenu à combiner les dits myhtiques éléments.Tout ce qu'il fallait était un nom afin d'identifier cette merveille...
En honneur de mon voyage spirituel, je me devais de nommer cette entitié le mélange du randonneur. J'aurais bien aimé le nommer le Kn€ffщẃў, mais le département du marketing m'a informé que les accents aigus sur les "W", c'était pas super vendeur en Amérique du Nord, alors au diable ce sherpa faible.

Donc si vous pensez que Brian Gionta est une bonne acquisition pour le tricolore, je vous plains, car imaginez tout ce qu'une poignée de mélange du randonneur pourrait apporter au premier trio de cette équipe. Vraiment, pensez-y! LÀ!

dimanche 25 octobre 2009

Allegrrrria golonojvatselyia, Allegriaaaaaa



Moi la bouffe j'aime ça en tabarnak. J'en mets tout l'temps dans ma yeule. Généralement ça goûte bon dans ma yeule aussi. Je suis toujours assez bon aussi pour dire pourquoi j'aime le plat que je mange, ses points forts et ses faiblesses. Mon truc: m'établir une référence. Dans mon cas, j'ai choisi le beurre de peanut. Exemples: "Ce roastbeef est colicement excellent, il goûte un peu le beurre de peanut", " J'aime beaucoup l'eau, ça désaltère et c'est très esthétique. Toutefois ça ne se compare en rien au beurre de peanut." " Ce beurre de peanut est tout à fait à point, il se pogne à merveille à mes gencives et il a un très bon goût de beurre de peanut".

Toutefois Vieux Deux Brun n'étant pas un blog chargé d'une mission culinaire, mais bien un blog voué à la quête de culture, de connaissances, d'introspection, d'aide au tier-monde, de compréhension et de croissance intellectuelle et philosophique, je n'ai jamais démontré l'étendue de ma sharpness en matière de critique de bouffe (Vincent non plus ne l'a jamais démontrée, mais Vincent c't'un gros criss d'imbécile).

Tout ça pour vous dire, vous, milliers de lecteurs en liesse, qu'un nouveau blog est né dernièrement. Le blog parle de bouffe, bonne ou mauvaise, c'est selon. C'EST UN BLOG DE CRITIQUE CULINAIIIIIIRE!!!!! . Ça s'appelle Le mot de la faim. C'est runné par des cerveaux de la nourreture. Ils savent de quoi ils parlent. Écoutez tout ce qu'ils disent. Ne vous fiez qu'à eux.

Babyyyyyyyyye!!!!

jeudi 15 octobre 2009

S.O.S Bacon


























Pour dépanner ceux qui sont en besoin de bacon!!!

samedi 10 octobre 2009

Mieux que Mathieu


Allez-y

Est-ce une rondelle de hockey, ou un sushi?


Nombre d'experts se sont prononcés, mais il est encore impossible d'en arriver à un consensus. Quel est cet objet (ou être) s'étant logé sur le sommet du crâne de ce suave membre de la famille des xénarthres sympathisant d'un pays scandinave?

Toute une colle...

Pensez-y et écoutez ça, ou je pète vos clavicules

The Pixies - Where is My Mind