Mon doux, mon doux, mon doux! Voilà que je vous raconte toutes sortes d'histoires sans queue ni tête, alors que l'une de mes plus grandes sources d'inspiration n'a pas (ou presque pas) été mentionnée.
Ma diligence céleste, ma noble monture, mon destrier à deux tons, mon Buick Skylark 1992...
En plus de "matcher" avec la couleur du blogue, ce "bourgogne de course" fait régner la crainte et l'ordre sur les routes accidentées de l'Outaouais. Reconnue pour sa fougue, ce petit bijou du bitume m'a fait tressaillir dans mes jeans dès les premiers instants. Les sons violents émanant de son surpuissant V6 rappellent les cris de guerre des redoutables bisons des plaines ou bien les bruits lourds d'un tremblement de terre.
Figure emblématique de la conception automobile de pointe du début des années 1990, cet étalon demeure encore l'outil parfait pour remédier à toute situation fâcheuse. Que ce soit pour dépasser l'Ontarien qui freine en descendant une côte, ou bien pour régler le compte d'un cycliste téméraire qui se permet d'en prendre trop large sur la route.
Pour 1000 petits dollars, c'est le coup de foudre assuré pour les gens avides de sensations fortes.
1 commentaire:
amen
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