samedi 10 avril 2010

Une histoire à frémir

J'ai pas réussi à réduire l'image


Dans la vie, faut se méfier de deux choses: les communistes et les bonbons surettes. Hier soir, j'ai oublié cette règle d'or et maintenant j'en paye le prix. C'est en lisant un excellent livre que j'ai commencé à m'envoyer en arrière de la cravate un bonbon surette et puis un autre et puis un autre. Je m'en suis pas rendu compte sur le coup, mais cette nuit je me suis réveillé la bouche en sang. J'ai la langue et le palais tout fendillés. Depuis deux heures je fais rien d'autre que pleurer et souffrir.

Ah je vous dis des fois la vie là!

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